Cher ami
Entends – tu les vagues de la mer flétrir ?
Ouïes – tu la cime héler des nénies ,
Lorsque la lugubre clarté du soleil se repose,
Lorsque les bras du ciel se croisent,
Lorsque le cœur du ciel,
A ses entrailles se dérobe ?
J’ai vu briller les ongles de l’univers ,
J’ai vu les saints s’embraser
Dans un désespoir saccadé .
J’ai aperçu les cénotaphes dans le ciel
Sur lesquels coulaient les larmes de Raphael
De mes yeux , j’ai vu des bouts de nuages au cimetière
Mon « moi » a gémi par affliction
Sans comprendre le pourquoi du devenir !
Oui dans les ires du « là haut »
Mon subconscient a aperçu le chaos .
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